Réagissant aux accusations gratuites par un réseau des prédateurs qui jurent de voir le président de la République se passer de Jules Alingete en vue de mettre en échec la lutte contre la corruption, les pionniers en la matière dont l’ancien ministre de la Justice Luzolo Bambi Lessa et la Ligue contre la corruption (LICOCO), sont allés à la rencontre de l’inspecteur général des finances – chef de service pour l’encourager à poursuivre la traquer sans désemparer, de tous les hors-la-loi et Kuluna en cravate, habitués à la fraude et de la corruption dans la gestion des finances publiques.
Luzolo Bambi Lessa et Ernest Mpararo ont encouragé Jules Alingete à continuer sans relâche avec son combat de la lutte contre la corruption en RDC, en dépit des complots et des allégations d’un réseau de prédateurs qui se sont tous discrédités avec de fausses décharges déjà rejetées par la Justice.
Forts de leur expérience en matière de lutte contre la corruption et connaissant le modus opérandi et la tactique des maffieux, ils ont apporté leur soutien à l’inspecteur général des finances-chef de service, victime des attaques fortuites des prédateurs des finances publiques. «L’IGF a lutté comme jamais auparavant, contre le détournement des deniers publics avec les résultats que nous connaissons tous», a déclaré l’ancien ministre de la justice Luzolo Bambi, révolté par les comportements inciviques des gestionnaires des deniers publics. Il a réconforté l’IGF dans ce combat ayant été lui même victime de cette bande de maffieux. «J’ai observé le combat de l’IGF que nous avons soutenu depuis le début, qui a concrétisé la volonté du président de la République de lutter contre la corruption mais surtout de lutter comme jamais auparavant contre les détournements des deniers publics avec les résultats que nous connaissons tous», a-t-il souligné avant de se déclarer très touché de constater que depuis un moment les tirs croisés contre le numéro un de l’IGF se sont intensifiés, avec des papiers sans aucune crédibilité. Pour Luzolo Bambi, il est étonnant qu’en dépit des résultats de cette lutte, il y ait des Congolais qui combattent Jules Alingete. «Par devoir de citoyen et en tant que compagnon de la lutte contre la corruption, je ne pouvais pas rester indiffèrent face à ce comportement. Raison de ma présence aujourd‟hui à l‟IGF pour le soutenir publiquement, avec ce grand travail des pionniers dans cette lutte qu’il est en train d‟abattre et dont les résultats sont connus de tous», a -t-il enchaîné.
De son côté, Ernest Mpararo, président de la LICOCO et membre de la société civile a laissé entendre que «les tirs croisés et les attaques sans preuve contre l’IGF ne peuvent nous laisser indifférents», en exprimant son soutien dans la lutte que mène l’Inspection générale des Finances et travail en synergie avec la LICOCO par des actions de contrôle citoyen et étatique. «En tant que société civile nous avons un partenariat avec l‟IGF et lorsque l’un des partenaires est attaqué nous devons le soutenir, étant donné qu’il exécute et réalise les désirs des citoyens qui veulent à ce que la corruption puisse être combattue. Malheureusement, nous constatons qu’il y’a des tirs croisés, des attaques sans preuves qui sont dirigées contre un de nos partenaires et cela ne nous laisse pas indifférent, c’est pour ça que nous sommes venus le réconforter pour effectivement aussi étudier comment répondre à ces attaques», a déclaré Mpararo.
Très ému par cette visite, Jules Alingete a assuré ses interlocuteurs que face à toutes les provocations de la prédation financière, il répondra par une intensification des actions de l’GF. «La lutte contre la corruption va se poursuivre sans désemparer, avec l’intensification des patrouilles financières. Je suis honoré de recevoir la visite de mes deux hôtes. Le professeur Luzolo Bambi, l’un des pionniers de la lutte contre la corruption dans notre pays est venu nous encourager pour le travail que nous sommes en train de faire et aussi nous demander de tenir bon parce que lui-même a une très longue expérience en la matière, il a vécu des attaques, oppressions plus grandes et virulentes que celles que l’IGF est en train de vivre», a déclaré Jules Alingete.
On rappelle depuis quelques temps l’Inspection générale des Finances est victime des accusations gratuites menées par une synergie des prédateurs de tous bords qui multiplient les attaques à l‟encontre de cet organe supérieur de contrôle.
Loin de baisser les bras, Jules Alingete dit être déterminé à poursuivre sans désemparer la lutte contre la corruption avec l’intensification de la patrouille financière sur toute l’étendue du territoire national.
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