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Incohérences et loges mystiques de Genève !

Lamuka n’est pas un regroupement politique ou une plateforme comme on nous l’a présenté depuis sa création à Genève qui avait débouché sur la désignation du candidat unique de l’Opposition à la présidentielle de 2018. C’est en réalité une secte, une loge maçonnique. Le président Tshisekedi a eu bien raison de s’en écarter. Les faits et gestes de ses fondateurs soulèvent bien de questions. Après que Félix Tshisekedi et Vital Kamerhe se sont retirés, deux autres membres Mbussa Nyamuisi et Matungulu Ilankir ont fait de même.
Restés quatre, les fondateurs se sont fixés comme mode de gestion, une coordination tournante de six mois. Elle s’est bien déroulée jusqu’au retour de Katumbi que Fayulu avait boudé.
Depuis lors, deux camps s’y opposent : les modérés ‘‘républicains’’ autour du duo Katumbi-Bemba et les extrémistes emmenés par le duo Fayulu-Muzito.
S’il a été observé dans le chef de ces derniers un discours incohérent dont la seule motivation était l’aigreur, on note chez Katumbi et son allié Bemba une curieuse attitude de silence. Un silence qui n’en est pas un parce que les deux compères ont su déployer leur armée médiatique et numérique pour faire passer leurs revendications et obtenir au finish des postes rémunérateurs dont ils avaient besoin en prévision des futures échéances électorales , surtout après la rupture du mariage FCC-CACH qu’ils ont applaudie frénétiquement.
Même si leurs mousquetaires prétendaient qu’ils n’en avaient pas après les postes juteux au sein du gouvernement, leurs cahiers de charge indiquaient tout le contraire car ils ont réclamé et obtenu le plus grand nombre de ministères considérés comme les plus alléchants. Hypocrisie !
Pendant ce temps, des rumeurs font état de médias et de réseaux sociaux qui auraient reçu de leur part des espèces sonnantes et trébuchantes pour saper l’action et l’image du chef de l’Etat.
Après moult démentis, le comportement de leur armée médiatique l’a confirmé. Ils sont allés jusqu’à faire la promotion des antivaleurs comme la prostitution au quartier Pakadjuma en y incitant des filles de joie à réclamer le retour de Joseph Kabila au motif que sous son règne, l’argent circulait plus facilement. Ce qui leur permettra de venir jouer aux bons samaritains avec beaucoup d’argent.
Certains réseaux sociaux ont raconté que l’on vendait des spaghettis en petits tas à cause de l’aggravation de la misère.
Il est curieux que ces pourfendeurs de Joseph Kabila sous le règne duquel ils avaient pourtant bâti leurs empires financiers fassent semblant de le louer aujourd’hui. Ils ont vite oublié que dans ce pays, on a vu une boite de tomates dépiécée et vendue à quatre ménages.
Ils ont oublié que l’armée nationale a été constituée en grande partie par une réunification laborieuse des groupes armés (brassage); qu’on y a connu un général qui se déclarera pince-sans- rire sergent dans l’armée patriotique rwandaise devant la Cour Pénale Internationale (Bosco Ntaganda).
La méthode empruntée à certains communicateurs du PPRD prouve que tout a été boutiqué dans les laboratoires et officines de ces caciques de l’acienne majorité présidentielle passés dans l’opposition pour des raisons purement opportunistes. Les éléments de langage, les réactions sont les mêmes. Quand ils sont coincés, ils disent que ceux qui soutiennent Tshisekedi le feraient au nom de leur appartenance tribale avec celui-ci. Pourtant, les membres de leur armée numérique et médiatique sont majoritairement recrutés parmi les ressortissants du grand Kasaï.
Entre temps, si Messieurs Katumbi et Bemba ont bénéficié de grands ministères dans le gouvernement de l’Union sacrée, ils n’en poursuivent pas moins la déstabilisation de Lamuka dont Fayulu et Muzito ont refusé de rejoindre cette plateforme créée par le président Tshisekedi. Cette revendication du label Lamuka par des leaders qui disposent de formations politiques réputées importantes frise un certain occultisme.
En effet, on ne comprend pas pourquoi Katumbi ne se contenterait pas de son Ensemble et Bemba de son MLC.
On ne comprend pas non plus pourquoi Martin Fayulu ne se limiterait pas à faire prévaloir son Ecidé et campe viscéralement sur l’étiquette Lamuka qui ne fut qu’une plateforme électorale.
On ne peut pas ne pas y voir quelque chose de diabolique et de mystique.
La tendance de Katumbi à créer des problèmes partout où il passe, notamment au PPRD, accusé aujourd’hui d’avoir attenté à sa vie par des poisons et des piqûres, relève de la victimisation comme stratégie pour embrigader une opinion crédule.
Fatshi doit déjà se mordre les doigts car tôt ou tard il aura à payer le prix de cette propension à l’affabulation de ses nouveaux alliés qui, non seulement ne lui ont jamais dit merci mais au contraire n’entreprennent que des actions pour le mettre hors jeu en 2023. Nous y reviendrons.
Rolly Kabwende

RDC : Journalisme et business de l’infox

Jusqu’à récemment, face aux attaques de ses détracteurs, le président Félix Tshisekedi gardait un silence imperturbable. Mais il semble qu’il ait compris que cette impassibilité faisait le jeu de ses adversaires, d’où sa décision de donner de la voix en marge de la création de sa coalition politique Union sacrée de la nation (USN) à la suite du schisme consommé avec le FCC. Il faut s’attendre à ce que, dans les mois qui viennent, il perde tout complexe et contre-attaque le FCC de son prédécesseur Joseph Kabila et Lamuka du tandem Fayulu-Muzitu de plus en plus virulent dans leur guerre perpétuelle contre lui. L’escalade verbale dont il est question ici se vit à travers un journalisme débridé dans l’exercice duquel l’émotion prend le pas sur l’information. Il y a quelques jours, l’indignation a gagné les médias congolais qui ont dénoncé des journalistes dont le business est devenu la vente du vent : Intox et Infox au service du plus offrant.
L’interférence entre marketing politique par des journalistes et information est en partie responsable de la baisse de la confiance envers les médias. Considérés comme les gardiens des valeurs démocratiques, plusieurs journalistes sont perçus maintenant comme des employés d’un business lucratif. Avec de tels médias vendus au mieux-disant, quelle crédibilité restera t-il à cette profession ?
Le puzzle de la propagande anti-Fatshi est composé de nombreuses pièces, dont certaines sont des ONG et des médias privés contrôlés par des personnages de touts accabits. Des animateurs télés, radios, des pseudos journalistes, influenceurs des réseaux sociaux et lanceurs d’alertes peuplent ainsi l’espace médiatique en RDC.
Ce sont des opportunistes qui veulent gagner à tout prix une obole en faisant de la propagande contre les initiatives gouvernementales au mépris de l’intérêt général. Ils disent se préoccuper de démocratie, de bonne gouvernance, de lutte contre la corruption et des droits de l’homme mais en réalité, ils ne cherchent qu’à s’en mettre plein les poches.

Le mensonge est leur business.
Ils abreuvent constamment le peuple congolais d’inepties conçues pour susciter la peur et la haine envers leurs dirigeants en les accusant de tous les péchés d’Israël. Leur objectif est de pousser à la révolte populaire.
Travailler pour l’argent étranger n’a rien de nouveau pour eux. Une duplicité intellectuelle entre journalisme et marketing politique.
Il faut que ça change. Le public a besoin d’une information vraie, or actuellement la plupart des informations sont enjolivées.
Il importe de les dénoncer sans concessions comme l’ont fait certains députés nationaux qui les accusaient d’avoir écrit que ces élus exigeaient 50. 000 USD avant l’investiture du 1er ministre Sama Lukonde.
Cette histoire ajoutée au coup de gueule de l’animateur Israël Mutombo de Bosolo na Politik sur l’indifférence des autorités face au pourrissement de la situation à l’Est du pays est la dernière salve en date dans l’escalade de la compétition politique entre les coalitions USN, Lamuka et FCC qui fait rage grâce à ces rapaces qui ont envahi les médias.
Dans le monde moderne, les puissances occidentales utilisent la rhétorique des droits de l’homme comme outil pour atteindre des objectifs de politique étrangère qui vise rien moins que la domestication de pays «exceptionnels» et présente la défense de leurs intérêts nationaux comme procédant d’une lutte clivante du «bien contre le mal».
Ce système a poussé les USA à instrumentaliser le concept des droits de l’homme comme arme de propagande pour légitimer ce qui aurait pu être considéré comme des agressions impérialistes.
A leur suite, certaines puissances occidentales utilisent sélectivement ce concept pour discréditer leurs adversaires et exploiter la conscience universelle afin de transformer les guerres prédatrices en quelque chose de juste, de nécessaire et d’héroïque.
C’est dans ce contexte que l’on peut déplorer l’attitude d’une certaine presse qui traite avec légèreté les crimes de guerre à l’Est de la RDC qui ont tué et fait souffrir des millions de personnes dans ce pays.
En quoi Félix Tshisekedi serait-il le méchant de l’histoire alors que l’on sait que le sinistre bilan de ces atrocités est à mettre sur le dos de groupes armés financés depuis l’étranger ?
Jacques mputela

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MARQUÉ : COURRIER DES LECTEURS
LE MAXIMUM 22 avril 2021
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