Parmi les Congolais qui sont aux affaires depuis la législature 2020, une personnalité se démarque des autres par ses méthodes de travail et son amour patriotique. C’est à coup sûr l’un des Congolais qui porte très haut l’amour de son pays, le seul où il estime devoir vivre véritablement et se sentir heureux d’y être né. Cet homme c’est Jules Alingete Key, inspecteur général des Finances – chef de service qui dirige avec brio le gendarme financier de l’Etat pour relever le niveau de vie de ses concitoyens.
En effet, depuis ses débuts à l’Inspection générale des Finances (IGF), Jules Alingete a fait ses preuves à la grande satisfaction du chef de l’Etat qui l’a promu à la tête de ce service rattaché à la présidence de la République. Tshisekedi est ainsi le tout premier chef d’Etat à décider un combat implacable contre les mauvais gestionnaires, les prédateurs des deniers publics et à appliquer cette décision grâce à ce bras armé.
Dans un combat sans merci contre les prévaricateurs et autres délinquants financiers impénitents, l’IGF avec Jules Alingete actionnent le contrôle a priori et activent le contrôle a posteriori, les deux armes qui aident la patrouille financière à abattre un travail appréciable avec la bénédiction du chef de l’Etat et de tous les contribuables congolais.
Cette bénédiction donne un poids réel à l’IGF qui n’a rien à craindre dans cette lutte acharnée et sans merci qui aboutit parfois à enlever le pain de la bouche de voleurs patentés des finances publiques. Grâce à cet engagement, ceux qui recourent à la menace ou se jettent à genoux aux pieds de l’IGF pour implorer sa miséricorde et leur éviter ainsi la honte publique en sont pour leurs frais. Contrairement aux équipes précédentes de l’IGF qui escortaient les mauvais gestionnaires, de nos jours grâce à la lutte sans merci d’Alingete et sa patrouille financière, les fonds publics sont protégés. Ces contrôles à priori et à posteriori sont des armes implacables qui aident et facilitent la lutte engagée contre ces manipulateurs indélicats de l’argent de l’Etat.
Le soutien du chef de l’Etat est également une arme utile. On rappelle que certains prédécesseurs de l’actuel inspecteur général – chef de service de l’IGF s’appuyaient sur divers leviers pour dépouiller l’Etat de ses moyens d’action en remplissant leurs poches des deniers publics à récupérer et à retourner au Trésor. Ils actionnaient le contrôle à posteriori pour faire chanter les mauvais gestionnaires qui vidaient le peu qui restait en caisse pour corrompre les inspecteurs des finances. Ce piège n’a pas prise sur Jules Alingete Key qui mérite pour cela les félicitations de toute la République et qui devrait même être décoré pour sa bravoure.
Le maximum