L’Inspection générale des finances (IGF) reste plus que jamais le fer de lance de la bataille implacable contre les prédateurs des deniers publics en République Démocratique du Congo, un pays littéralement mis sous coupe réglée depuis de trop longues années par une engeance de voleurs et autres maffieux qui mettent à mal la vie de leurs congénères. C’est pour éradiquer ces pratiques des délinquants et autres fossoyeurs du développement et de l’émergence du pays de Lumumba, que l’Etat a créé l’IGF.
Ce service est destiné à combattre coûte que coûte toutes les mauvaises pratiques inoculées dans la gestion publique par ceux qui torpillent les efforts de leurs bons compatriotes. Avant la désignation de l’IGF, chef de service Jules Alingete Key, les efforts déployés par le pays étaient pratiquement insignifiants. Il a fallu attendre l’avènement de Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo à la tête de l’Etat et la nomination par lui de Alingete à la tête de cet important service ce la présidence de la République pour qu’enfin les choses sérieuses s’enclenchent dans la lutte contre diverses formes de prévarications qui vidaient le Trésor public de toute sa substance.
Devenue proactive et combative, l’IGF sous Jules Alingete Key a mis fin aux vols qui gangrenaient les recettes publiques congolaises. Les fins limiers de l’Inspection générales des finances ont, depuis lors, rompu avec les pratiques corrosives antérieures qui s’étalaient naguère au grand jour.
On voyait en effet régulièrement des ministres, PDG, comptables publics et autres responsables de la gestion des finances publiques dévaliser sans vergogne les recettes de l’Etat et se les partager avant de quitter leurs bureaux respectifs satisfaits de leurs fortaits et impunis.
L’arrivée à la tête de de l’IGF du duo Jules Alingete – Victor Batubenga a sonné le glas de ces pratiques antipatriotiques.
Avec la détermination des urgentistes nettoyant une plaie gangrenée, les fins limiers de l’IGF nouvelle version appliquent diverses méthodes de contrôle, notamment le contrôle à priori, concomittant et à postériori qui contribuent à réduire sensiblement les comportements prohibés.
Ce nettoyage au karsher n’est pas une génération spontannée. C’est le résultat d’un engagement citoyen de la part des nouveaux responsables de l’Inspection générale des finances pour préserver ce qui appartient à chaque congolaise et chaque congolais.
Cela donne des insomnies et des migraines à quelques mauvais gestionnaires englués dans les basses coutumes d’antan en ce qui concerne la manipulation des deniers publics.
Les détourneurs les endurcis en sont réduits à y regarder à deux fois avant de se hasarder à chaparder le moindre sou vaillant des caisses de l’Etat.
Cette entreprise de régénération a déjà commencé à produire des effets positifs. Avec le contrôle à priori, il n’est plus aisé de projeter des coups bas au risque de se faire jeter en prison.
De toute évidence, les fonds du Trésor sont à ce jour mieux encadrés qu’auparavant. On le doit à la dextérité et au courage de Jules Alingete, la sentinelle qui veille sur la RDC et ses finances.
Le maximum