Depuis quelque 4 ans, le gouvernement fournit de gros efforts dans sa lutte pour l’instauration de la bonne gouvernance et l’amélioration du climat des affaires. Dans ce cadre, il faut noter l’apport des structures spécialisées comme l’Inspection générale des finances (IGF). En effet, le tableau des réalisations du gouvernement serait incomplet sans l’apport de l’IGF dirigée de main de maître par Jules Alingete Key. Avec sa patrouille financière, ce service de l’Etat participe activement, à l’éradication des antivaleurs dans la gestion de la chose publique. Et aujourd’hui, l’homme qui provoque l’insomnie chez les voleurs publics au pays de Lumumba et de Kimbangu est
suivi pas à pas dans sa lutte pour l’instauration de la bonne gouvernance. Sous sa direction, l’impact et même la réussite de son institution en matière de lutte contre la corruption, le détournement des deniers publics et dans la mobilisation des recettes publiques ne cesse d’attirer l’attention. C’est même une réussite dont le monde se félicite.
Grâce à cette réussite, à la conférence de l’OCDE, tenue à Paris, avec pour thème «Travailler
ensemble pour renforcer l’intégrité et lutter contre la corruption», les Etats-Unis d’Amérique, par la voix de Richard Nephew, coordonnateur de la lutte contre la corruption des USA, ont salué la coopération établie avec la RDC, au travers de de l’Inspection générale des finances (IGF) et de la Cellule nationale des
renseignements financiers (CENAREF) pour lutter contre la corruption. De plus en plus donc, la notoriété l’IGF
traverse les frontières nationales. Cela est dû au fait que, dans ce domaine précis, son chef est parvenu à supplanter
bien des institutions qui ont existé longtemps avant sa remise à flot par le président de la République,
Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, en 2019.
Un peu partout à travers le monde, on se répand en éloges sur les efforts que Jules Alingete Key déploie, à travers sa fameuse patrouille financière pour faire évoluer positivement la lutte anti-corruption et le climat des affaires en RDC.
LE MAXIMUM