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Le Maximum > Blog > A la une > RAPPORT AVANT ENQUETE AU BCNUDH : J. M. Aranaz en flagrant délit de manipulation
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RAPPORT AVANT ENQUETE AU BCNUDH : J. M. Aranaz en flagrant délit de manipulation

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Double jeu à l’ONU ? La question s’est toujours posée. Elle consiste à savoir quel jeu joue, dans un pays membre de l’organisation des Nations-Unies, une mission de l’organisation mondiale chargée de la paix et de la sécurité universelle. De loin la plus coûteuse de toutes celles qui sont en cours à travers le monde, mais pas toujours la plus efficace. En raison de dysfonctionnements manifestes, et sans doute aussi de l’entrecroisement d’objectifs qui ne concourent pas tous au rétablissement de la paix dans ce pays continent si complexe.

L’insécurité causée par des terroristes se réclamant d’une autorité coutumière dans les provinces kasaïennes de la RD Congo illustrent le dilemme cornélien dans lequel semble empêtrée la mission onusienne. En mars 2017, près de 8 mois après le déclenchement des exactions contre les populations civiles, les forces de l’ordre et les représentants du pouvoir dans la province du Kasai Central, les instances onusiennes s’avisent d’y regarder de plus près. Deux jeunes experts, la Suédoise d’origine chilienne Zaïda Catalan et l’Américain Michael Sharp, sont dépêchés dans la région par le Conseil de sécurité pour enquêter, mais à l’insu du gouvernement de la RD Congo. Le 12 mars, les deux enquêteurs sont retrouvés morts après avoir été longtemps portés disparus. Ils avaient vraisemblablement été assassinés par les miliciens Kamwina Nsapu. L’affaire révolte tout ce qui existe d’âme sensible, en RD Congo et à travers le monde, d’autant plus qu’ainsi qu’on l’apprendra par la suite, Zaida Catalan avait été étêtée, conformément au modus operandi de ces jeunes drogués initiés à des pratiques fétichistes qui leur assureraient invincibilité et invulnérabilité.
Dans les Kasai, les experts assassinés étaient en quête de fosses communes susceptibles d’attester d’exactions attribuées, non pas aux miliciens qui tuaient impunément au grand jour depuis plus d’un semestre, mais aux forces de sécurité et de l’ordre dépêchées pour rétablir la paix dans la région. Cela aussi, l’opinion publique en RD Congo l’apprendra après la mort de Zaida Catalan et de Michael Sharp. La mission dans le dos des autorités nationales et provinciales rd congolaises était dirigée contre elles, manifestement.
A la réunion du Conseil des droits de l’homme de l’ONU tenu mi-juin dernier à Genève, le Gouvernement de la RD Congo avait dû batailler ferme pour ne pas se voir imposé une enquête internationale indépendante et « en vase clos » relative aux exactions contre les populations civiles dans les provinces Kasaiennes, réclamée activement par certaines puissances occidentales. La délégation conduite par Marie-Ange Mushobekwa, la ministre chargée des Droits de l’homme du gouvernement d’union nationale, s’en était pourtant bien tirée en obtenant que des experts internationaux collaborent avec les experts et la justice de la rd congolais chargés du même dossier. Ainsi que cela se passe dans tous les pays civilisés du monde.
Ce n’était que partie remise pour les spécialistes de l’intoxication et de la manipulation qui pullulent dans la bureaucratie de l’organisation mondiale, manifestement. Parce qu’à Kinshasa, le Bureau Conjoint des Nations-Unies pour les Droits de l’Homme (BCNUDH) vient, sans attendre que l’enquête conjointe décidée à Genève ne débute, de rendre publique les résultats de sa propre « enquête ». Qui fait état de dizaines de fosses communes, dont plusieurs dizaines sont attribuées, on ne sait sur base de quelle expertise ou méthodologie, aux forces de sécurité gouvernementales par l’agence onusienne décidément inconsolable d’avoir raté son coup dans la capitale helvétique.
La publication de cette énième enquête qui porte la signature de José Maria Aranaz, directeur du BCNUDH en RDC et ses hommes est intervenue quelques heures avant l’annonce de l’arrivée à Kinshasa de trois experts internationaux dans le cadre des enquêtes sur … les exactions déplorées dans les provinces kasaïennes. Mardi 25 juillet 2017, Dennis Hankis, ambassadeurs des Etats-Unis d’Amérique et son homologue britannique Graham Zebedee l’ont officiellement annoncé à Marie-Ange Mushobekwa, aux fins d’obtenir des facilités consulaires en faveur de Luc Coté (Canada), Fatimata M’Baye (Mauritanie) et Barce Ndaye (Sénégal), qui arrivent le 3 septembre prochain.
Pour une mission qui risque de ne servir à rien, s’agissant de la recherche de la vérité des faits et de la justice puisque sieur José Maria Aranaz en avait unilatéralement décidé autrement, en rédigeant et publiant un rapport sur lesdits faits sans attendre, ni la collaboration des préposés de la justice dépêchés sur le terrain dans le même dossier, ni les 3 experts onusiens chargés d’enquêter en collaboration avec ces derniers dépêchés par le Haut Commissaire des Nations-Unies aux Droits de l’Homme qui n’est autre que… l’employeur de M. Aranaz et son Bureau Conjoint des Nations-Unies pour les Droits de l’Homme en RDC qui sont ainsi littéralement pris la main dans le sac d’une grossière manipulation dont les raisons restent à élucider.
J.N.

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