Le secrétaire général de l’Union des écrivains congolais (UECO), Emile Utshudi Dimandja, a procédé samedi dernier à Kinshasa, au baptême de l’ouvrage intitulé «Un paralytique sans béquille» du révérend docteur Patrice Fumumba, responsable de la Communauté de l’Eglise (AE). Introduit par l’évêque Mpinda, le secrétaire général de l’UECO a indiqué que ce livre est comme «une parabole qui nous interpelle tous, face à nos responsabilités sociales, intellectuelles, spirituelles, politiques etc».
Il a reconnu qu’en publiant son livre, un écrivain rencontre deux réactions chez les autres comme lui, qui se demandent à quand leur tour et d’autres qui se posent des questions à l’instar de Rachel qui exigeait à son mari Jacob de lui donner un enfant.
Pour l’auteur, Patrice Fumumba, la problématique soulevée dans son livre part d’une observation qui ronge les deux pôles dans n’importe quelle organisation à savoir : les leaders, les employeurs, les patrons d’un côté, et de l’autre, les collaborateurs, les ouvriers, les employés, face aux objectifs à atteindre. Et ce, pour créer une interaction dynamique et convergente afin de voir se réaliser ceux-ci.
Comme dans la plupart de ses livres, le pasteur Patrice Fumumba pense que le leader dans les divers domaines de la vie, ecclésiastique, politique, scientifique est celui qui est appelé à donner des solutions aux diverses crises qui secouent le monde. Il doit avoir la capacité qui relève de la compétence proportionnelle aux potentialités que Dieu a dotées l’homme depuis la création.
En guise de conclusion, M. Fumumba déclare que puisque le leader n’est pas un tout, il est comparé à un paralytique qui n’a pas en soi une marche facile. Donc, il faut lui donner de bonnes béquilles qui sont des hommes qui conviennent à ses côtés dont l’apport et l’appui lui permettront de pouvoir réaliser les objectifs fixés.
AVEC ACP