Après la conférence de Luanda (Angola) et la rencontre de Kinshasa en décembre dernier, dans le cadre de la journée internationale de lutte contre la corruption, l’IGF qui déborde d’activités a reçu samedi 25 janvier 2025, une forte délégation de la Commission nationale de transparence et de responsabilité dans la gestion des finances publiques (CNTR) du Congo-Brazzaville.
L’équipe, conduite par son président Joseph Mana Fouafoua, était venue s’enquérir de la manière dont l’IGF/RDC mène ses activités concernant la lutte contre la corruption et le détournement des déniers publics.
Comme pour dire que le travail abattu par les gendarmes financiers de la RDC sous le management éclairé de l’inspecteur général des finances – chef de service Jules Alingete Key continue de faire des émules au-delà des frontières nationales à tel point qu’au sortir de cet entretien avec la délégation de la CNTR, le président de cette dernière n’a pas manqué de souligner l’importance du rôle que joue l’IGF en RDC. «Nous comprenons que pour faire ce que réalise l’IGF/RDC, il faut un accompagnement politique», a-t-il déclaré, appuyé par Jules Alingete,honoré par cette visite de la CNTR à Kinshasa en vue de la mutualisation des énergies et des volontés dans le but de faire éclore l’efficacité dans le contrôle des finances publiques en Afrique.
A l’occasion, l’inspecteur général des finances – chef de service Jules Alingete a rappelé les résolutions de la conférence de FIGE à Luanda et à Kinshasa en indiquant que dans ces deux forums, les discussions devaient se poursuivre avec la CNTR de la République du Congo, autour des questions du contrôle des finances publiques et de la lutte contre la corruption, en vue d’une éventuelle collaborer entre les deux pays en cette matière.
La délégation du Congo-Brazzaville en a profité pour effectuer la visite du nouvel et imposant immeuble abritant le siège de l’IGF inauguré tout récemment par le président Félix Tshisekedi.
Redynamisée par le président de la République Félix-Antoine Tshisekedi, l’IGF confirme ainsi sa réputation. La visite à Kinshasa de la délégation brazzaviloise de la CNTR témoigne que les échos du travail qu’abat l’IGF portent d’autant plus loin, au-délà de nos frontières suscitant de l’admiration parmi nos voisins sur le continent. On rappelle que l’IGF est membre du Forum des inspections générales de l’Etat et Institutions de contrôle assimilées d’Afrique dont elle assume la vice-présidence depuis octobre 2024.
JMK