En République démocratique du Congo la tête du ministre d’Etat, ministre de la Justice et garde des sceaux Constant Mutamba est mise à prix par quelques faucons opposés à ses initiatives visant la guérison totale de la justice congolaise réputée malade placée dans cet état par les mêmes individus.
De nombreuses sources font état de complots qui se succèdent dans le but de décourager le jeune élu de Lubao à qui le président Félix Tshisekedi a confié les 12 travaux d’Hercule dans la pétaudière qu’est devenue la justice congolaise. Dernier épisode en date : cette déclaration d’un nébuleux «Comité de Femmes Débout pour les Institutions Efficaces en Afrique» (FEDIEA) visiblement à la solde des conspirateurs condamnant le ministre Mutamba de trop utiliser les réseaux sociaux.
Cette réaction vient après l’annonce par Constant Mutamba de l’ouverture d’une enquête contre un haut magistrat sur lequel peseraient de graves présomptions d’acquisition d’un luxueux immeuble à Bruxelles d’une valeur de près d’un million de dollars américains.
Un document relatif à cette affaire avait fuité peu auparavant sur les réseaux sociaux faisant état d’une demande d’un prêt bancaire de l’ordre de sept cent cinquante mille dollars américains (750.000 USD).
Il appert de plus en plus clairement que le n° 1 du ministère de la Justice a donné un véritable coup de pied dans la termitière de certains magistrats véreux qui s’étaient confortablement installés dans les antivaleurs qui n’honorent ni leur profession, ni la République dans son ensemble au détriment de la bonne administration de la justice dans le pays.
La sortie du bois de cette association poursuit manifestement l’objectif de discréditer le ministre Mutamba dont on connait la rigueur morale et l’intransigeance dans la restauration de l’éthique dans l’appareil judiciaire congolais conformément aux voeux du chef de l’Etat.
Un véritable coup d’épée dans l’eau pour quiconque connaît Constant Mutamba et sa détermination à redorer le blason terni du secteur dont la responsabilité lui a été confiée au sein du gouvernement central.
Le Maximum