Lors de l’Assemblée générale et le Colloque international qui se sont tenus du 22 au 25 octobre à Luanda, le Forum des Inspections générales d’État d’Afrique et institutions assimilées (FIGE) a désigné ses nouveaux dirigeants. Le bureau de cette plateforme est composée de l’Angola comme présidente et de la RDC entant que vice-présidente.
C’est le fruit du combat contre la corruption et le détournement de deniers publics que ne cesse de mener Jules Alingete depuis sa nomination à la tête de l’IGF en qualité de l’inspecteur général – chef de service de cet organe rattaché à la présidence de la République.
Le poste attribué à la RDC est un signal fort pour ce pays qui, depuis ces quatre dernières années, réalise d’immenses progrès dans la lutte contre la corruption et le détournement. Notons que depuis sa nomination en juin 2020 à la tête de ce service, Jules Alingete y a insufflé un vent nouveau. Au cours de ces assises de Luanda, il s’est demené plus que mesure pour convaincre les 28 autres pays participants à accorder leurs voix à la RDC.
Aux côtés de l’Angola qui a marqué des points dans la lutte pour l’éradication de la corruption en confisquant les biens mal acquis par les dignitaires de l’ancien régime, la RDC est considerée désormais comme l’autre bon élève de la lutte contre les antivaleurs financiers sur le continent. A cette occasion, Jules Alingete a tiré profit de ces assises pour présenter la vision du président Félix-Antoine Tshisekedi dont la volonté politique est de faire reculer les antivaleurs dans la gestion des fonds de l’Etat.
L’inspecteur général des finances – chef de service a plaidé et obtenu que la prochaine tenue de la session du FIGE se déroule à Kinshasa en octobre 2026.
Le Maximum