A l’ère d’internet et des réseaux sociaux, l’information n’a jamais circulé aussi rapidement. Le revers de la médaille, c’est que les fake news, elles aussi, peuvent se répandre comme une traînée de poudre. Le terme vient de l’anglais et signifie littéralement « fausses informations ». Ces fausses informations sont inventées de toutes pièces volontairement pour profiter à quelqu’un, à un groupe de personnes, à un mouvement ou encore à une entreprise…
Le contexte de pandémie dans lequel on se trouve depuis plus d’un an a été malheureusement très propice aux fake news. L’arrivée de ce virus qu’on ne connaissait pas a largement participé à ce tsunami d’informations, avec, fatalement, son lot de fake news.
Si les fausses informations concernaient beaucoup l’origine du coronavirus au début de la pandémie, elles s’attaquent maintenant aussi aux différents vaccins contre le Covid-19. On a notamment entendu que les vaccins étaient « plus risqués que le virus », que les vaccins « changeaient la couleur du sang », ou encore que « les vaccinés avaient moins d’anticorps que les non-vaccinés ». Toutes ces affirmations sont évidemment fausses et ont, pourtant, énormément circulé sur les réseaux sociaux.
Comment ne pas tomber dans le piège des fake news ? La chose la plus importante quand tu te trouves face à une information est de garder un esprit critique. Ça veut dire, d’abord se demander d’où vient l’information. Émane-t-elle d’une source officielle ? Crédible ? Qui l’a produite ? En matière de coronavirus, il existe des sources clé, comme Sciensano, le SPF Santé ou encore l’OMS. L’information a-t-elle été publiée par d’autres sources ? Par exemple, différents médias vérifiés ? Il faut se demander si l’information est exacte en la recoupant.
Et, surtout, si tu as un doute sur une information ou que tu n’es pas sûr qu’elle soit vraie, c’est simple : tu ne la partages pas ! Que ce soit via WhatsApp, Facebook, Twitter, la règle est la même.
AVEC AGENCES