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VACCINS ANTI-COVID-19 : Tous ont des effets indésirables

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Comme n’importe quel médicament, les vaccins anti-Covid peuvent avoir des effets indésirables, dont certains nocifs. La plupart sont d’intensité légère à modérée et disparaissent rapidement.
Un Français sur deux est désormais complètement vacciné contre le Covid-19, a annoncé, mardi 27 juillet, la Direction générale de la santé. En tout, jeudi, plus de 41 millions de personnes ont reçu au moins une dose de vaccin – soit un peu plus de 62 % de la population totale – et près de 35 millions de personnes ont eu deux injections.
Comme pour n’importe quel médicament, il peut y avoir des effets secondaires, c’est-à-dire des réactions non voulues, parfois nocives, après la vaccination. La plupart sont d’intensité légère à modérée et disparaissent en quelques jours. Certains peuvent être plus intenses ou durer plus longtemps – des réactions allergiques par exemple.
Un dispositif de surveillance renforcée a été mis en place par les autorités de santé. Il est possible d’y contribuer en signalant tout effet indésirable ressenti.
A ce jour, les données disponibles sur les effets secondaires des vaccins anti-Covid sont rassurantes. Depuis le début de la campagne de vaccination, le 27 décembre, l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a recensé 67.020 cas d’effets indésirables, selon son dernier point de situation publié le 30 juillet. Il s’agit dans 75 % des cas d’effets secondaires « non graves » et dans 25 % des cas d’effets secondaires « graves ».
En France, quatre vaccins sont administrés : ceux de Pfizer-BioNTech (Etats-Unis-Allemagne), de Moderna (Etats-Unis), d’AstraZeneca (Royaume-Uni-Suède) et, plus récemment, de Johnson & Johnson (Etats-Unis), qui ne nécessite qu’une injection. Voici, dans le détail, les effets indésirables rapportés, vaccin par vaccin.
Pfizer-BioNtech
L’ANSM a enregistré 36.512 cas d’effets indésirables à la suite de l’injection du vaccin Comirnaty de Pfizer-BioNTech depuis le début de la vaccination, le 27 décembre. Il s’agit, dans 73 % des cas, d’effets secondaires « non graves » et, dans 27 % des cas, d’effets secondaires « graves ». Les données publiées montrent une forte réaction de l’organisme dans les jours qui suivent la piqûre, mais ce sont des effets indésirables inoffensifs et habituels.
Parmi les effets secondaires « très fréquents » (plus d’un cas sur dix), on peut citer, notamment : fatigue, maux de tête, douleurs musculaires ou articulaires, frissons et fièvre. «A noter que la fréquence des réactions systémiques, et particulièrement de la fièvre, de la fatigue et des maux de tête, est plus importante lors de l’administration de la 2e dose par rapport à la 1re dose», révèle l’agence. Des nausées ont aussi été signalées (plus d’un cas sur 100). Ces réactions bénignes sont temporaires, le temps de la mise en action du système immunitaire, et peuvent être associées au stress engendré par une vaccination.
L’ANSM a également observé 52 cas d’hépatites avec les vaccins de Pfizer-BioNTech et de Moderna. «Les cas d’atteintes hépatiques survenus dans la population majoritairement âgée ne permettent pas de conclure sur le rôle du vaccin dans la survenue d’atteintes hépatiques», souligne toutefois l’agence, qui n’a pas émis de signal de sécurité.
Vingt-huit cas de réactions allergiques d’intensité sévère ont été rapportés, mais, là encore, l’ANSM note qu’«au regard des données disponibles à ce jour, le délai de survenu tardif n’est pas en faveur du rôle du vaccin dans la survenue de ce choc anaphylactique». L’ANSM annonce avoir répertorié «un cas de choc anaphylactique ayant conduit au décès d’une personne d’une vingtaine d’années après une vaccination avec Comirnaty». Mais, «étant donné le délai de survenue tardif [dix heures après la vaccination] et la très probable exposition post-vaccination à un allergène chez cette personne ayant un antécédent d’allergies alimentaires connu, rien ne permet de conclure que ce décès est en lien avec la vaccination».
L’agence a par ailleurs classé comme « signal potentiel » les troubles menstruels (règles plus abondantes, décalées par rapport au cycle habituel…) après la vaccination avec le produit de Pfizer-BioNTech (229 cas ont été enregistrés). L’ANSM a en outre classé comme « signal confirmé » le risque d’augmentation de la tension artérielle, immédiatement après la vaccination ou de façon différée, de courte durée et d’évolution favorable.
Depuis le 15 juin, la vaccination avec ce produit est ouverte aux jeunes de 12 à 17 ans. En tout, « 66 événements indésirables graves ont été observés (…), dont un cas de myocardite [une inflammation du muscle cardiaque]», note l’ANSM, qui précise que «le profil des effets indésirables est globalement semblable à celui des adultes». Au total, tous âges confondus, 7 cas de myocardites ont été répertoriés.
Moderna
Depuis le début de la vaccination, le 22 janvier, l’ANSM a enregistré 7 184 cas d’effets indésirables à la suite de l’injection du vaccin Spikevax de Moderna – qui s’appuie, comme celui de Pfizer, sur la technologie de l’ARN messager. Il s’agit, dans 82 % des cas, d’effets secondaires « non graves » et, dans 18 % des cas, d’effets secondaires « graves ».
La majorité des effets indésirables rapportés, attendus et non graves, sont les mêmes que ceux signalés pour le vaccin de Pfizer-BioNTech (fatigue, maux de tête, douleurs musculaires, etc.). Un grand nombre de cas d’effets secondaires non graves concerne des réactions à l’endroit de l’injection : douleur, gonflement (plus d’un cas sur dix) ; rougeur, urticaire, éruption cutanée (plus d’un cas sur 100).
Hormis les cas d’hépatites observés, à l’image du Pfizer, l’agence a classé comme « signal potentiel » les troubles menstruels après la vaccination avec le produit de Moderna (36 cas enregistrés). Pour le moment, « il est difficile de déterminer précisément un rôle du vaccin dans la survenue de ces saignements menstruels/génitaux », souligne l’ANSM. «Ces effets très majoritairement non graves mais inattendus et survenant également chez des femmes ménopausées » feront désormais l’objet d’une attention accrue.
Des « troubles vasculaires de type d’hypertension artérielle » ont été par ailleurs confirmés et continuent de faire l’objet d’une surveillance spécifique. Des cas de myocardite ont également « rarement été signalés (…), plus souvent après la deuxième dose et chez des hommes jeunes ».
« A ce stade, les cas rapportés d’événements thromboemboliques avec Spikevax ne montrent pas de spécificité particulière en faveur d’un rôle du vaccin », tranche en revanche l’agence.
AstraZeneca
L’ANSM a enregistré 23.018 cas d’effets indésirables à la suite de l’injection du produit d’AstraZeneca depuis le début de la vaccination, le 6 février. Il s’agit, dans 77 % des cas, d’effets secondaires « non graves » et, dans 23 % des cas, d’effets secondaires « graves ».
« La grande majorité de ces cas concerne des syndromes pseudo-grippaux, souvent de forte intensité (fièvre élevée, courbatures, céphalées) », rapporte l’agence. En outre, le vaccin d’AstraZeneca peut entraîner des diarrhées, des vomissements et des saignements de nez (plus d’un cas sur 100). Des étourdissements, une sudation excessive et une diminution de l’appétit ont également pu être observés (plus d’un cas sur 1.000).
A la mi-mars, le vaccin suédo-britannique a vu son utilisation temporairement suspendue dans une quinzaine de pays, dont la France, en raison de craintes liées à la formation de caillots sanguins. Mais l’Agence européenne des médicaments (AEM) a affirmé, le 18 mars, qu’« il s’agit d’un vaccin sûr et efficace». Le gouvernement français a, dès lors, immédiatement repris son utilisation auprès des personnes de 55 ans et plus.
L’AEM a ensuite reconnu, le 7 avril, qu’il existait un lien entre le vaccin d’AstraZeneca et des cas «très rares» de thromboses. L’agence a cependant maintenu ses recommandations, estimant que les bénéfices du vaccin restaient «largement supérieurs aux risques qu’il fait encourir» : il est plus probable de mourir du Covid-19 en cas d’infection que d’un caillot sanguin provoqué par l’injection d’une dose d’AstraZeneca.
Johnson & Johnson
La campagne avec le vaccin de Janssen, filiale de Johnson & Johnson, a débuté en France le 24 avril. A la différence des produits de Pfizer-BioNTech, de Moderna et d’AstraZeneca, une seule dose suffit. Comme le produit d’AstraZeneca, il est injecté uniquement aux personnes de 55 ans et plus, en raison de craintes liées à la formation de caillots sanguins. L’AEM a réaffirmé, le 20 avril, que le vaccin de Johnson & Johnson était sûr et efficace.
Au total, plus de 762.000 injections ont été réalisées en France avec ce vaccin. En tout, 306 cas d’effets indésirables ont été signalés. Il s’agit, dans 64 % des cas, d’effets secondaires «non graves» et, dans 36 % des cas, d’effets secondaires «graves». «La majorité des effets indésirables sont non graves, attendus et d’évolution favorable, en particulier des effets de réactogénicité (par exemple des malaises)», met en avant l’ANSM.
Dans le cadre d’essais cliniques, plusieurs effets indésirables ont été recensés : la majorité d’entre eux étaient d’intensité légère à modérée et ont généralement disparu en quelques jours. Il s’agit principalement de maux de tête, de nausées, de fatigue, de douleurs musculaires et à l’endroit de l’injection (plus d’un cas sur 100). Une toux et de la fièvre ont aussi été observées (plus d’un cas sur 100). Plus rarement, ce vaccin peut entraîner des tremblements, des douleurs oropharyngées, une sudation excessive, un mal de dos, un état de faiblesse générale ou encore un malaise (plus d’un cas sur 1.000).
A ce jour, un cas d’hépatite ainsi qu’un cas de péricardite (inflammation du péricarde, la membrane qui enveloppe le cœur) ont été rapportés.
L’AEM a conclu que le vaccin de Johnson & Johnson pouvait entraîner « de façon extrêmement rare » un syndrome de fuite capillaire (perte de liquide plasmatique hors des vaisseaux) et a considéré que ce vaccin «ne doit pas être utilisé chez les patients ayant des antécédents de syndrome de fuite capillaire». A ce jour, il n’y a eu aucun cas en France.
En outre, l’AEM considère qu’il existe un lien possible entre ce vaccin et des cas de syndrome de Guillain-Barré (une atteinte neurologique rare) déclarés en Europe.
M.S.

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