Les opinions émises dans cette rubrique n’engagent que leurs auteurs
Sur le dossier Octavia vs Astalia
Chers amis de la presse,
Dans ma première lettre ouverte du 21 août 2019, j’avais alerté sur la manipulation d’opinion à laquelle se livre quotidiennement l’équipe de com de Moïse KATUMBI et j’ai par la même occasion profité de vous prévenir sur des pratiques qui risqueraient de ternir l’image de votre profession. Par ce fait, je vous ai vivement recommandé de vérifier les infos portées par devant vous, avant de vous lancer dans certaines conclusions. C’est d’ailleurs une exigence de votre professiin.
Nonobstant les efforts que je peux vous reconnaître dans le traitement de l’information du dossier en concerne depuis cette période, j’observe que certains parmi vous viennent à nouveau de tomber dans le panneau, en se permettant des conclusions hâtives, dans un dossier monté et fabriqué de toute pièce pour distraire l’opinion sur l’essentiel. Le laboratoire qui est connu pour ce genre de procédés est connu de tous..
En effet, on vous parle depuis peu d’un arrêt de la cour de cassation entre les deux parties citées ci-dessus. Selon ces manipulateurs, cet arrêt imaginaire donnerait raison au camp Katumbi. De la pure supercherie que je dénonce ici, mais que vous pouvez facilement vérifier de par vous-mêmes. Ainsi, je trouve nécessaire de préciser à votre attention les points ci-après :
1. Il n’y a, à ce jour, aucun dossier inscrit au rôle à la Cour de cassation, opposant OCTAVIA à ASTALIA. Je vous invite de vous rapprocher du greffe de cette cour pour vous en convaincre.
2. D’ailleurs, il est important de relever à votre attention que dans l’espace du droit communautaire OHADA auquel la RDC a souscrit, les litiges commerciaux sont pourvus en cassation à Abidjan (Côte d’Ivoire)
3. En tout état de cause et si ces deux points qui précédent peuvent résister à l’analyse, il y a lieu de reconnaître que le pourvoi en cassation n’est possible qu’après un jugement en appel. Pour votre parfaite info, le seul jugement en appel qui a été prononcé dans ce dossier, c’est celui du 11 décembre 2020 de la Cour d’appel de la Kinshasa / Gombe, qui n’a jamais été contesté par le camp KATUMBI devant la Cour de cassation. D’où viendrait aujourd’hui leur arrêt fabriqué depuis une ferme de Lubumbashi ?
L’arrêt de la Cour de cassation du 24 décembre 2020 sur la prise à partie des juges du Tribunal de commerce de Kolwezi.
Cet arrêt qu’ils publient à tout va à leur guise pour détourner l’attention de l’opinion sur leur forfait commis à Ecobank, n’a absolument rien à voir avec le litige opposant les deux parties.
Comme cela est même clairement indiqué dans cet arrêt que vous pouvez tout simplement lire, c’est une prise à partie contre les juges du tribunal de commerce de Kolwezi qui ont prononcé un jugement inique, en condamnant de façon incompréhensible NB MINING AFRICA qui est une société distincte de OCTAVIA à payer un lourd préjudice de 70 millions des dollars à ASTALIA, alors que les deux parties n’ont aucun litige commercial à régler. Pire, c’est un jugement rendu par défaut, qui a systématiquement évité le contradictoire. Ce sont ces faits qui ont été portés devant la Cour de cassation et non leurs délires. *Toutefois, les journalistes que vous êtes sont informés que le jugement de la Cour d’appel de Kinshasa / Gombe qui donne raison au Président Pascal BEVERAGGI n’est pas cassé par la Cour de cassation.
Si un client peut se faire déplumer par sa propre banque au profit des tiers qui n’ont aucune qualité de jouir des fonds logés par ledit client à ladite banque, il y a des sérieuses questions à se poser. Une telle banque devrait plus faire peur à la communauté que de bénéficier d’un traitement de faveur dans vos articles. Comment pouvait-elle se permettre de transférer des fonds logés dans son enseigne à une partie qui est en procès avec son client, avant tout jugement définitif ? C’est sur ce fond qu’il convient de comprendre le rapprochement que nous observons entre Ecobank et l’équipe de communication de Moïse KATUMBI. Un marché de dupe semble germee, mais que peut-il valoir devant la justice qui est régulièment saisie contre Ecobank? Vu que l’affaire est en pleine instruction, je préfère ne pas la commenter à ce stade.
Tels sont les faits dans ce dossier et ils ne peuvent-être contestés. Le jugement de la Cour d’appel de Kinshasa / Gombe qui est favorable au Président Pascal BEVERAGGI n’a jamais été cassé, comme aussi il n’y a aucune affaire opposant OCTAVIA à ASTALIA à la Cour de cassation. Prendre de l’argent qui ne vous appartient pas par des procédés condamnables, c’est du vol pur et simple. Le remboursement est le seul mot qui devrait sortir de leurs bouches. Toutefois, Ecobank est mise devant ses responsables.
À vous les amis de la presse, je conclus en disant ma disponibilité d’apporter tout éclairage dans un dossier que l’on voudrait monter de toute pièce. Que ce texte vous inspire à vérifier vos sources d’informations, afin de ne pas contribuer à poluer l’opinion par la manipulation du camp KATUMBI.
Bonne et heureuse année 2021 à vous ainsi qu’à vos proches.
Papy TAMBA, Gérant
Transhumance politique
– Les mêmes personnes qui avaient renié leur appartenance à CACH pendant la campagne de 2018-2019 se proclament meilleurs protecteurs du pouvoir de Fatshi à travers l’union sacrée !
– Les mêmes qui avaient empêché le ticket Fatshivit de battre campagne jusqu’à placer des mai-mai sur son chemin après lui avoir chanté “kiwelewele” se proclament meilleurs protecteurs du pouvoir de Fatshi !
– Les mêmes qui avaient changé à longueur de journée que Fatshi avait été nommé et qu’il était voleur de la victoire du peuple disent aujourd’hui que c’est à travers l’union sacrée autour de lui que le peuple gagne !
– Les mêmes qui avaient insulté celui qu’ils considéraient comme traître suite à son retrait de l’accord de Genève proclament Fatshi l’homme providentiel !
Dans tout cela, ils oublient celui qui :
– avait amené le pays à financer ses propres élections ;
– avait accepté de perdre les élections qu’il avait organisées ;
– avait interdit l’atterrissage à Kinshasa de la délégation de l’UA (conduite par Paul Kagame) qui s’opposait farouchement aux résultats de la présidentielle.
Qui trompe qui ?
Mais pourquoi pas, tu sais très bien ce que perd le pays chaque année.
Il suffit de coincer les investisseurs asiatiques pour qu’ils régularisent la situation de nos frères qui travaillent chez eux sans contrat pendant plusieurs années, tu sais nous gagnerons combien en termes d’IPR ? combien de congolais travaillent sans contrat avec les asiatiques à travers le pays, il y a des choses qui ne sont pas prises en compte par nos dirigeants puisqu’ils sont corrompus par ces investisseurs. Je n’ai pris qu’un seul exemple.
Aujourd’hui le budget est consommé en grande partie par les institutions, la part réservée aux investissements est minime, voire inexistante. Les dépassements budgétaires constatés dans les institutions pourraient être déversés dans les investissements, en accordant par exemple des prêts ou subventions aux investisseurs. Sous d’autres cieux, le financement public a été une réalité et le train de vie des institutions a baissé, mais chez nous le train de vie des institutions n’a fait que hausser, surtout la rubrique salaires.
Nos politiciens sont inhumains et de mauvaise fois.
Jacob Kasala
A propos du Covid-19
Le Coronavirus est une sérieuse menace pour notre santé. Nous sommes tenus de respecter les mesures annoncées par le président de la République. Le virologue congolais, prof. Muyembe, a conseillé de veiller à son alimentation en privilégiant les produits biologiques. A ce sujet, des molécules testées au laboratoire par des scientifiques, inhibent la protease de Covid-19, une des enzymes de la pathogènicite (maladie) du Covid-19. Il s’agit notamment des molecules suivantes: Kaempferol, gingerol, curcumine, quercetine, catechine.. Ces molécules sont présentes dans les produits suivants: Curcuma, Gingembre, ail, maniguette(mondongo), oignon, aubergine..Je vous conseille de les consommer régulièrement . Le thé vert et la citronnelle sont aussi conseillés comme boissons.
Prof. Théophile Mbemba