Au Fonds de Promotion de l’Industrie (FPI), trois tendances se dessinent: les mbengelistes, les kitebistes et les non-alignés qui eux, n’appartiennent ni à l’un ni à l’autre camps et n’ont pour clan que le FPI, leur gagne-pain.
Ils en ont marre de la guerre de tranchées que livrent les mbengelistes au comité de gestion qu’ils jugent déstabilisatrice pour l’entreprise.
On note en effet qu’une énième campagne de désinformation, de desintoxication et mensonge est en cours depuis le week-end pour tenter une fois de plus de déstabiliser le directeur général du FPI Patrice Kitebi en rapport avec les projets à réaliser dans l’espace Grand-Kasaï dans le cadre du programme présidentiel accéléré de lutte contre la pauvreté et la réduction des inégalités. L’instigateur affiché de cette campagne n’est autre qu’Alexis Makashi, responsable d’un syndicat de mallette non représenté au FPI qui ne cesse de se livrer à des diffamations et médisances dictées par une haine viscérale à la suite du licenciement de son jeune frère Makashi Kwete par l’actuelle direction du FPI pour faux diplôme.
Profitant de ses entrées au ministère du Travail et prévoyance sociale en sa qualité de syndicaliste, sieur Makashi avait réussi à induire en erreur tour à tour les ministres d’Etat honoraires Lambert Nemas Matuku et Néné Nkulu qui, grâce aux éléments portés à sa connaissance, a, part sa lettre du 18 mai 2020, recadré les agents et cadres du FPI dont les grades avaient été rabattus et ceux qui étaient licenciés en 2018, les exhortant à attendre la décision judiciaire.
A ce jour en effet, le tribunal de travail de Kinshasa/Gombe, siégeant en matière de travail au 1er degré a rendu un jugement déboutant l’action de tous ces agents.
Les neutralistes fournissent une liste de plus de 60 agents mbengelistes engagés par le passé sur une base clientéliste au point d’en compter plus de 100 s’illustrant en troubles-fête.
Aussi, les observateurs sérieux se demandent s’il faut pour le l’essor de leur entreprise, maintenir des membres d’une même famille recrutés avec de faux diplômes, bénéficiant des promotions et avantages, et se comportant comme des roitelets sans jamais connaître de mutations, de sanctions ou blâmes.
Dossier à suivre.
OH