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UN EXEMPLE A NE PAS SUIVRE POUR LES AFRICAINS Le désastre des EHPAD en France

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Depuis le début de la pandémie, 7.649 personnes sont mortes dans les maisons de retraite en France. Les révélations sur le groupe Korian, leader européen du secteur sur la mortalité des personnes de troisième âge vivant dans des Etablissements d’hébergement des personnes âgées dépendantes (EHPAD) donnent froid dans le dos. Dans un seul de ces établissements, à Mougins, un tiers de pensionnaires ont succombé au Covid-19.
La tragédie de ces fameux EHPAD qui sont propre à la culture occidentale où la tendance est de parquer les aînés loin des ménages pour le « confort » des puinés restera comme le grand scandale de cette épidémie. Entre surmortalité et abandon, les résidants des maisons de retraite médicalisées ont payé un lourd tribut à cette crise sanitaire. Certes, les personnes très âgées qu’elles vivent dans ces établissements, ou chez elles, sont les premières touchées par le Covid-19 du fait de leur organisme fragilisé. Mais justement : les responsables de ces établissements ont une responsabilité particulière… Surtout lorsqu’on se rend compte que leur prise en charge en EHPAD dégage des gros profits.
C’est le cas de Korian, leader du marché en France et en Europe, qui a revendiqué une hausse de 10,4 % de son bénéfice net en 2019. Non seulement le groupe n’a pas vu venir l’épidémie – à sa décharge, il n’est pas le seul –, mais surtout il semble n’avoir rien fait, même lorsque les signaux d’alerte sont apparus, pour protéger ses résidants et son personnel soignant. Les masques étaient gardés sous clef malgré les premiers morts. Les résidants étaient délaissés quand les salariés ont dû être arrêtés pour lutter contre la maladie à cause de l’insuffisance du personnel. Ces ratés ont entraîné une surmortalité par rapport aux autres établissements, comme l’illustre un reportage réalisé à la Riviera, à Mougins, qui a accusé le plus lourd bilan connu à ce jour.
Bien sûr, tous les Ehpad ne sont pas logés à la même enseigne, certains ont réussi à préserver leurs résidants. Mais les lourdes pertes révèlent surtout qu’en France en particulier et en Europe en général, au-delà d’un certain âge, on disparaît aux yeux de la société, on n’est plus qu’un marché en pointe («D’ici à 2030, le nombre de seniors en Europe va passer de 1 pour 3 actifs à 1 pour 2», note Korian sur son site). De quoi souligner l’urgence absolue d’un nouveau plan de prise en charge de la dépendance. Cette crise aura eu ce triste mérite de révéler la façon dont les plus vieux sont traités par les nouvelles générations. Un mal peut-être bien pire que le virus.
Les premières données montrent une forte surmortalité dans ses établissements et les témoignages pointent des négligences Korian, le leader du marché des maisons de retraite, coté en Bourse, contre lequel des familles veulent aller en justice.
Les funestes décomptes ont fait les titres de la presse : à «la Villa Victoria» de Noisy-le-Grand (Seine Saint – Denis), 25 décès ; aux «Aurélias» de Pollionnay (Rhône), 28 décès ; à «la Vill’Alizé» de Thise (Doubs), 26 décès… Et le plus lourd bilan connu à ce jour, à «la Riviera» de Mougins et ses 36 résidants morts etc. Tous appartiennent au groupe Korian, spécialisé dans les maisons de retraite coté en bourse. En France, depuis le 1er mars, 511 décès étaient attribués au Covid-19 dans les établissements de l’entreprise, selon les derniers chiffres communiqués par la direction à Libération. Un bilan probablement loin de la réalité du désastre, les décès de résidants survenus à l’hôpital n’y étant pas intégrés. Selon nos informations, plusieurs autres sites du groupe non répertoriés affichent aussi une inquiétante surmortalité. A «l’Epervier» du Bourget (Seine-Saint-Denis), qui compte 114 places, 24 résidants sont morts. Au «Halage», près de Valenciennes (Nord), c’est 10 personnes, parmi la soixantaine accueillie. Aux «Cèdres» de Villemomble (116 lits, en Seine-Saint-Denis) 16, tandis qu’à Clamart (Hauts-de-Seine), au «Bel-Air», 8 pensionnaires sont morts sur 80. Des familles ayant perdu un proche fustigent une absence de transparence, des manquements de l’entreprise et ont déposé plainte.
En 2019, les résultats financiers de Korian – aussi numéro 1 en Belgique et en Allemagne dans le secteur – s’élevaient à 3,61 milliards d’Euros de chiffre d’affaires et 136 millions d’Euros de bénéfices. Sophie Boissard directrice générale de Korian dont le salaire annuel de près d’un million d’euros en 2018 qui est parmi les dirigeants d’entreprise les mieux rémunérés n France parle fièrement de «performance opérationnelle solide». Dans le business de la dépendance et du troisième âge, où figurent en bonne place les poids lourds Orpea et DomusVi, peut-on parler d’une spécificité Korian face à la crise sanitaire ?
L’impératif de résultats financiers et du cours de l’action en Bourse semble préoccuper plus que les ravages de l’épidémie dans plusieurs établissements du groupe, dont certains sont éloignés des foyers les plus virulents du Covid-19. Plusieurs sources stigmatisent le déficit de médicaments le nombre insuffisant de médecins, d’infirmiers et d’aides-soignants dans ces établissements. « On est en perdition. Engloutis par la vague, car s’il n’y a pas un bon suivi médical des résidants, on passe à côté d’un cas Covid qui va se développer. Il faut faire un diagnostic précoce », indique un membre du personnel dépassé.
les premières données communiquées par la direction de Korian esquissent une surmortalité plus importante, avec un taux de décès proche de 2,2 % des résidants, contre 0,9 % pour le reste des établissements. Toutefois, ces chiffres ne permettent pas de répondre entièrement à la question, tant les biais à prendre en compte sont nombreux : répartition géographique, sous-déclaration de certaines maisons de retraite, nombre de pensionnaires morts à l’hôpital… Jérôme Salomon, le directeur général des services de la santé de la France, a assuré qu’«il n’y a pas de raison d’imaginer qu’il y ait un groupe plus touché qu’un autre». Tout en indiquant ne pas disposer de statistiques sur le sujet.
Soumis à la loi des marchés financiers, les EHPAD semble anticiper dans ses rapports annuels, les éventuelles répercussions d’une épidémie. Ainsi, le document de référence de l’année 2018 annonçait que «le développement d’une épidémie à grande échelle pourrait avoir un effet négatif sur l’activité, la réputation, la situation financière et les résultats du groupe, notamment en raison de la perte d’activité éventuelle qui pourrait en résulter ainsi que des coûts supplémentaires susceptibles d’être engendrés par la mise en place de mesures sanitaires exceptionnelles ». Mais assurait cependant aux investisseurs avoir « développé une politique d’hygiène et de qualité des soins permettant de circonscrire la diffusion des épisodes épidémiques et de mini­miser au maximum les conséquences d’une épidémie sur ses résidants ». Pur charabia.
Au Bourget, selon plusieurs témoins, le personnel est resté de longs jours sans matériel de protection, après le déclenchement du «plan bleu» dans les EHPAD le 6 mars. Une soignante choquée a déclaré que « la direction ne voulait pas nous donner de masques, ils attendaient qu’il y ait un cas avéré. La peur s’est installée, on n’était au courant de rien. Alors qu’il y avait déjà eu un décès, on continuait à travailler seulement avec des tabliers. On a dû crier pour avoir une bouteille de gel hydro-alcoolique ». Les équipes n’ont été autorisées à porter des masques chirurgicaux qu’à partir de la dernière semaine de mars. D’abord un ou deux par jour, et c’est seulement début avril que des masques FFP2, plus protecteurs, ont été distribués pour effectuer les gestes les plus à risque. Aujourd’hui, environ un tiers du personnel est atteint. Les deux infirmiers de nuit (testés positifs) ne travaillent plus depuis deux semaines et n’ont pas été remplacés. L’un d’eux est en réanimation. Fin mars, aucun secteur réservé au Covid-19 n’avait encore été aménagé : «Des personnes déambulaient à tous les étages, se souvient une salariée tombée malade. J’ai très bien pu propager le virus, même si je faisais attention au maximum. On a des contacts très rapprochés avec des résidants qui n’ont pas de masque…».
Directeurs et soignants déplorent des décisions inadaptées à l’accueil de personnes fragiles dans un espace clos. Près de 8.000 résidants sont morts depuis le début de l’épidémie.

Les chiffres sont glaçants. «Il n’y a pas de lieu en France cumulant autant de risques : un endroit clos avec une forte concentration de personnes en situation de fragilité», note le docteur Gaël Durel, président de l’Association des médecins coordonnateurs et du secteur médico-social (Mcoor). Qui s’interroge le plus sérieusement du monde si les plus vulnérables sont prioritaires.
L’examen des décisions prises depuis deux mois pour faire face à l’épidémie laisse apparaître une succession de décisions légères, voire inadaptées, notamment dictées par l’insuffisance de matériel de protection comme de tests de dépistage. Le tout en l’absence d’instruments fiables pour mesurer la réalité de la situation sanitaire dans les EHPAD, puisqu’il a fallu attendre début avril pour qu’une communication nationale sur les décès y survenant soit réalisée.
Eric Lacoudre, directeur de deux EHPAD (Sillingy et Cervens) a fait partie des premiers touchés en France. «De ce fait, on a eu tout le matériel de protection nécessaire, mais le Covid-19 était déjà entré, et en six ­semaines on a dû déplorer 18 décès. Tant qu’il n’y avait pas de cas avéré, on ne nous distribuait pas de masques. On a ouvert un boulevard au virus. Trois semaines plus tard, on avait plus de 20 morts sans aucune réponse coordonnée de l’Etat», se souvenait-il.
«Aujourd’hui, on gère en fonction des stocks, pas des besoins », remarque Jean-Pierre Riso, président de la Fédération des associations de directeurs d’établissements et services pour personnes âgées (Fnadepa). On court après sur-blouses, sur-chaussures, charlottes… Certains utilisent des masques en tissu, pas aux normes. On essaie de trouver mieux que rien. Autre erreur originelle, les tests de dépistage. «Quand la crise démarre, il y a un mauvais réflexe, car on a confiné les gens dans les EHPAD alors qu’on aurait dû sortir ceux malades, estime un haut fonctionnaire en première ligne. Il fallait dès le début tester les résidants. Le même haut fonctionnaire : «Pour le déconfinement, tester devrait être une priorité. Car si on fait les mêmes erreurs, ça va repartir de là. Les infectés des EHPAD vont re-contaminer des soignants, qui eux-mêmes vont faire redémarrer l’épidémie dans la société ».
Korian, qui indique avoir commandé plus de 2,8 millions de masques chirurgicaux et 800.000 masques FFP2, se range derrière les consignes du ministère de la Santé : «Nous avons scrupuleusement et instantanément suivi et appliqué tous les protocoles transmis par les autorités sanitaires » Ainsi, le groupe précise que le port du masque a été instauré sur les sites «dès l’apparition d’un cas Covid-19 diagnostiqué» parmi les résidants, le 29 février. Puis que celui-ci a été «systématisé» auprès des personnels à compter du 22 mars, après «la levée des mesures de réquisition de masques prises par le gouvernement». Mais «dans les faits, il y a un décalage entre les annonces, les protocoles nationaux et la réalité de chaque établissement», pointe une source syndicale préférant rester anonyme. Pas à un paradoxe près, le groupe fait de «la transparence» une des valeurs phares de sa charte éthique. Déplorant une communication de façade, c’est justement l’absence criante d’informations que mettent en cause des familles de personnes hébergées. Denis Grably, dont le frère de 81 ans était hébergé pour 5.500 Euros par mois dans l’EHPAD parisien «les Arcades», témoigne de «négligences» : «Mon frère est hospitalisé depuis dix jours, sous oxygène. Je ne sais pas s’il va s’en sortir. Il était atteint depuis quinze jours, son cas a été pris en charge trop tard : il y a eu une perte de chance. Au téléphone, ils me disaient “tout va bien, tout est contrôlé”. Un jour, le médecin m’apprend que mon frère tousse et a de la fièvre. Il me rassure, je m’inquiète, j’insiste… C’est comme ça que je découvre qu’il y a un décès dans l’EHPAD ». Médecin lui aussi, Denis Grably devra insister lourdement pour que son frère soit testé, puis hospitalisé dans la foulée. «S’il s’en sort, hors de question de le remettre là-bas ». Et si l’issue s’avère tragique, il l’assure : il n’hésitera pas à aller en justice, comme d’autres.
S’il refuse d’accabler son ex-employeur au motif que «le problème dépasse largement le groupe Korian», Jean Arcelin, ex-directeur de «la Riviera» à Mougins et auteur d’un essai sur le business de la dépendance, Tu verras maman, tu seras bien, reconnaît du bout des lèvres : «Quand vous avez une telle mortalité sur un site, forcément, c’est qu’il y a un dysfonctionnement.» Pour lui, la crise révèle surtout un mal plus profond et global (lire ci-contre). Dans la plupart des EPHAD, tout est conditionné par l’argent..
Aux Etats-Unis aussi, les chiffres concernant l’impact du Covid-19 sur les personnes âgées dépendantes sont également sous-estimés. L’administration Trump ne fournit aucune donnée sur la mortalité dans les plus de 15 000 maisons de retraite du pays. Publié il y a quelques jours par le New York Times, le récit du drame survenu dans la plus grande maison de retraite du New Jersey a fait le tour du monde. Dans cet établissement de la localité d’Andover, la police a retrouvé il y a quelques jours 17 corps, empilés dans une morgue prévue pour en accueillir 4. Selon les autorités, au moins 66 personnes âgées étaient mortes ces dernières semaines, dont la moitié testées positives au Covid-19. Quoique particulièrement sordide, le cas de cette maison de retraite du New Jersey, second Etat le plus touché du pays après New York, ne constitue pas une exception. Le tout premier foyer de l’épidémie aux Etats-Unis a été recensé en février dans un établissement pour personnes âgées près de Seattle, où au moins 37 résidants sont décédés. Depuis, les cas s’enchaînent : 29 morts selon la direction d’une maison de retraite du Queens (une soixantaine d’après des employés) ; plus de 45 morts à Richmond, en Virginie ; plus d’une cinquantaine dans un établissement pour vétérans du Massachusetts… La liste est longue, et surtout incomplète, faute de statistiques fédérales. Car depuis le début de l’épidémie qui a fait près de 40.000 morts aux Etats-Unis, sur environ 735.000 cas recensés, l’administration Trump ne fournit aucun chiffre sur la mortalité dans les 15.600 maisons de retraite du pays. Elles accueillent environ 1,3 million de personnes, auxquelles s’ajoutent 700.000 pensionnaires de résidences médicalisées. Face à l’émotion suscitée par les récits de drames à huis clos, certains Etats tentent de faire preuve de plus de transparence. Pour la première fois, celui de New York a publié mercredi une liste des maisons de retraite ayant enregistré au moins cinq décès liés au coronavirus. Le document semble toutefois incomplet, et n’avait pas été actualisé dimanche. L’un des établissements, Parker Jewish, déplorait 38 morts. Un bilan passé à 47 jeudi, puis 57 samedi, a révélé le site The Daily Beast. Dans l’Etat de New York, les autorités indiquent que 2.690 résidants de maisons de retraite ont succombé au coronavirus, un cinquième du ­bilan total. Au niveau national, à défaut de bilan officiel, plusieurs médias tiennent leur propre décompte. Samedi, le New York Times estimait à 6.900 et la chaîne ABC à 7.300 le nombre de décès en maisons de retraite, soit environ, là aussi, 20 % du total. Un pourcentage très inférieur à celui observé dans plusieurs pays européens, dont la France, où près de 40 % des morts sont recensés dans les EHPAD. Ici aussi, les acteurs du secteur se soucient davantage de leurs profits que de la sécurité et de la santé de ceux qui vivent et travaillent dans leurs établissements. Aux Etats-Unis, près de 70 % des maisons de retraite appartiennent à des opérateurs privés, connus pour leurs tarifs très élevés et les salaires dérisoires qu’ils payent à leurs employés. Selon le Washington Post, sur les quelque 650 maisons de retraite ayant des cas publiquement identifiés de coronavirus, 40 % ont fait l’objet, ces dernières années, d’au moins deux infractions aux normes fédérales de lutte contre la propagation des infections. Faut-il y voir un aveu de culpabilité ? En Floride, le principal lobby du secteur, la Florida Health Care Association, qui représente 700 propriétaires de maisons de retraite, a demandé au gouverneur de leur accorder une «immunité contre toute poursuite, civile ou criminelle» liée à l’épidémie. Suscitant l’indignation de nombreuses familles ayant perdu un proche. Dimanche, le gouverneur républicain, Ron DeSantis, lui-même très critiqué pour sa gestion erratique de la pandémie n’avait pas encore donné sa réponse.
Alexandra Schwartzbrod et Frédéric Autran

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