1. Moïse KATUMBI totalise aujourd’hui 739 jours dans l’opposition, soit un peu plus de 17.736 heures, ou 1.064 160 minutes. Il semblerait qu’un certain Tom Perrielo lui aurait promis le pouvoir en 6 mois, soit 180 jours seulement, après sa rupture avec le fils de la promesse. La carrière dans l’opposition ne fait que commencer…
2. Ils étaient nombreux à l’Ile de Gorée et ils avaient conclu un pacte. Nous les avons tous vu chanter « Mbote Ya Suka Kabila », s’adressant au fils de la promesse. Un certain José Makila et tant d’autres étaient avec eux. Que les journalistes leur pointent leurs micros et ils leur diraient tout le bien qu’ils ont découvert auprès du fils de la promesse. Le Front citoyen 2016 n’est plus qu’un souvenir dans notre pays
3. Ils étaient encore très nombreux à Genval, affichant une arrogance qu’on en trouve rarement chez les hommes civilisés. Ils ont signé un acte d’engagement qui totalise aujourd’hui 485 jours. Les jours de cette plateforme sont comptés. Les journalistes peuvent aussi pointer leurs micros devant un certain Bruno Tshibala, concepteur de ce qu’ils appellent « Acte de Genval », et il leur dira tout le bien qu’il a découvert depuis l’épopée genvaloise.
4. Et la Cenco, notre pauvre Cenco. Combien de communiqués incendiaires ne pourrons-nous pas leur attribuer ? J’ai fait le comptage, ils en sont à 12, nos pauvres évêques catholiques, depuis 2006. Et nous sentons une sorte de rancœur dans leurs cœurs contre le fils de la promesse, qui entache même leur crédibilité. Des hommes se disant de l’église ne peuvent pas se montrer aussi partisans et haineux que ne le sont nos évêques qui, par la force des choses, donnent l’air des petits messieurs.
4.1. La Cenco était à l’île de Gorée
4.2. La Cenco était à Genval
4.3. La Cenco était à Paris pour signer le dernier mort-né baptisé machin citoyen.
5. Pour la signature de ce machin citoyen, nous avons vu apparaître un certain Sindika Dokolo, un beau garçon qui n’a comme mérite que le pouvoir de séduction des filles des présidents de républiques. A l’issue de ce machin-citoyen, des rôles cure-dents ont été confiés à certains journalistes, qui insultent chaque samedi matin sur CCTV Saint Papy TAMBA, sans que ce dernier ne les calcule. Ils n’ont qu’à continuer à pédaler, la route est encore longue…
Du rappel de ces quelques faits, je remonte à la surface ces quelques mots du feu Papa Wemba: « Soki bozo koka koboma moto te, botika yango epela tino mokolo Nzambe ye moko ako boma yango ». Quand on se frotte au fils de la promesse, on s’y pique soi-même, à coup sûr.
Je viens de me relire avant de poster mon texte. Aucune insulte ou menace n’en ressort. J’accuserai donc devant le tribunal de la démocratie tout éventuel insulteur ou toute personne qui se prêterait aux menaces. Je suis toujours dans mon coin, très au coin même, pour faire d’autres calculs des jours à imputer aux actions vouées à l’échec entreprises contre le fils de la promesse.
Papy TAMBA, 09/10/2017,