Un des communicateurs de la Majorité présidentielle en la personne d’Yves Kisombe, a déclaré à la presse, après l’investiture et la prestation de serment à la Cour constitutionnelle de Corneille Nangaa, le nouveau président de la Ceni, que l’intéressé sera jugé aux actes, en rapport avec le règlement de la question de l’élaboration du calendrier électoral, du règlement de nombreux autres problèmes qui se posent, comme le fichier électoral…
Pour Yves Kisombe, le défi est énorme et la Ceni seule n’y parviendra pas, seule, à le relever. D’où, soutient-il, il faut l’implication de tout le monde. C’est ce qui, à ses yeux, justifie la tenue du dialogue entre la classe politique, la société civile en vue de discuter de toutes ces questions d’hommes à hommes.
Didier Okende Wetshi